En espérant que les tests d'effets indésirables soient concluants pour ensuite passer à l'Homme...
Attention, c'est tenter d'endiguer, pas "réparer". Et ce n'est que chez la souris pour le moment.
L'idée: avec le GlunomabⓇ "activer" les barrières l’une entourant le cerveau (la barrière hémato-encéphalique) et l’autre la moelle épinière (barrière hémato-médullaire) pour empêcher les cellules immunitaires d'y passer et d'aller détruire la myéline qui entoure les axones..
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